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À travers cette chronique de la Belgique au XXe siècle, quelques thèmes parcourent le déferlement impitoyable de la vie : la guerre, le conflit des générations, la fuite du temps, l’attrait de la mer, la relation amoureuse, la maladie et la mort. La tonalité générale est souvent empreinte de pessimisme, né de l’éternel compromis entre la réalité et la vie telle qu’on l’aurait souhaitée.

Jacques Goyens (AREAW)

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Les nouvelles dessinent une constellation familiale et amoureuse (...) On l'aime à tous les âges, cette Fanny, même et surtout quand elle se débat dans des situations dont elle aimerait s'échapper très vite. D'ailleurs, elle lit de bons livres.

Pierre Maury (Le Soir)

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Les quinze récits s'attachent à peindre les tensions et bonheurs qui rassemblent les générations et les fratries, mais aussi les non-dits et les secrets de famille découverts par de vieilles correspondances laissées dans les greniers.

Nausicaa Dewez (Le Carnet et les Instants)

 

Avec tendresse et doigté, Françoise Duesberg croise le destin des membres d'une famille, racontant, par petites touches, son histoire au fil des générations. J'ai particulièrement apprécié le portrait des femmes courageuses et inspirantes qui furent infirmières durant les deux guerres. Son écriture douce et enjouée porte à merveille ses récits à l'habile construction.

Evelyne Guzy, auteure

 

Visitez la Belgique contée par Françoise Duesberg.  Au travers de ces nouvelles, les mots s'inscrivent sur le papier tels des coups de pinceaux. Chacune des nouvelles saura vous charmer tel un tableau impressionniste, capturant des moments remplis d'émotions fortes.

Librairie Le chat botté (Rixensart)

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J'ai eu enfin l'occasion de lire ton recueil. Il est remarquable. J'ai adoré bien entendu l'écriture tout en finesse et subtilité mais aussi le « procédé » (à chaque nouvelle une personne de la « famille » qui s'adresse à une autre et convoque des souvenirs ou aventures situées dans un lieu de Belgiques). Procédé qui de plus, affine et relie, au fur et à mesure du suivi des nouvelles, les éléments d'une saga familiale.

Marianna Sluszny, journaliste, auteure

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Un récit entrelacé entre documents, souvenirs et destin, dont la part de fiction constitue le ciment et la vérité.

Antoine Labye (animateur littéraire sur RCF Liège)

 

Très beau texte. Très émouvant. J'ai été sensible à la manière tout en finesse dont tu fais progresser le récit, sa structure, un sens subtil de la "psycho généalogie" (les dernières phrases de la fin du roman sont très fortes), l'habileté à mêler l'évocation des petits riens qui font l'essentiel de la vie avec celle des pesanteurs sociales et bien entendu la poésie de ton écriture. Il m'a plu que le déroulé du récit s'offre comme une focale dont l'ouverture se resserre peu à peu pour aboutir à la fin de vie de tes parents et à leur legs, toi...

Marianne Sluszny (auteure, journaliste)

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Voici un roman qui prouve à merveille, si besoin en était, que des souvenirs familiaux peuvent servir de terreau à de véritables œuvres littéraires.

Thierry Detienne (Le Carnet et les Instants)

 

Tu as réussi à donner un sens plus large à cette approche, la tienne, de l'histoire de tes parents. Ça m'a ramenée à un recueil de Leonardo Padura (auteur cubain que j'adore) : j'ai tout le temps eu en tête son texte « Pourquoi écrit-on un roman ? » en lisant le tien. Marianne Lacomblez (professeur de psychologie)

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Ecrire, c'est faire appel au silence du coeur, de la mémoire aussi. Les rendre bruissants. Puis attendre qu'advienne un écho dans le coeur ou l'esprit d'un autre. Et vous le faites bien !

Martine Demillequand

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J'ai commencé "Couple". Passionnant. Je ressens une grande proximité.

Daniel Soil, auteur


C’est un roman intime. On y croit. On le vit. (…) C’est un vibrant hommage au concept même du « souvenir ».

Patrick Devaux (AREAW)

 

D’emblée, l’impression de me retrouver en terrain connu, alors que je ne connais rien ou presque de ton histoire familiale (…) J’ai aimé la narration, ta façon de passer d’une famille à l’autre, de t’y donner une place, ta place. Tout est là pour « faire des liens » (…) Les questions, les bribes de réponses, une forme de lucidité, je m’y retrouve. Pourtant nos histoires n’ont rien de commun. Lire, c’est aussi se projeter n’est-ce pas ?

Martine Lemasson

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Chacun s’y reconnaîtra, dans le rapport qu’il entretient avec sa famille, les non-dits, les « fantômes », les frustrations… C’est ça l’écriture : laisser une porte ouverte pour que le lecteur puisse s’y engouffrer.

Cécile Rittweger

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Fascinant et très émouvant.

Christine Pagnoulle

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Françoise Duesberg met en avant le choc des cultures à travers un style simple et concret (...) La reconnexion à notre part d'humanité s'infiltre subrepticement et se propage, belle et rebelle.

Séverine Radoux in "Le Carnet et les Instants"

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Une écriture fluide, un style qui ne cherche pas à se faire remarquer, mais qui est d'une justesse extrême (...) Un style impeccable, vif, sensible (...) Le livre se lit d'une traite.

Joseph Bodson in "Reflets Wallonie-Bruxelles"

Un roman très romanesque, qui commence un peu comme le Grand Meaulnes, pour notre plus grand bonheur.(...) Françoise Duesberg serait-elle magicienne ? Elle est en tous cas enchanteuse, ou enchanteresse.

Joseph Bodson (AREAW)

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"Bleu glycine" m'a touchée par sa fraicheur avec son arrière-fond de profondeur (...) Une belle entrée dans le monde des adolescents et dans celui de la guerre, de la Shoah, des attentats terroristes (...) Une langue vive et un beau sens des dialogues.

Annemarie Trekker

Les récits sont écrits avec fermeté et tendresse à la fois (...), un journal "extime" qui parle des autres comme on parlerait de soi.

Michel Ducobu (AREAW)

litterature belge roman auteur academia
litterature belge roman auteur academia

"La valise" et "Le fleuve et la barrière" révèlent un trop rare talent dans la littérature actuelle : celui du récit romanesque qui sonne vrai sans trucages de style ni placage d'argot.

Steve Polus, Wolvendael Magazine

Oh cadeau empoisonné ! Saperlotte, j'ai commencé à lire "Le fleuve et la barrière" et c'est tellement bien écrit, monté, qu'une heure et demie plus tard, je lisais toujours ! Là, il faut que je m'arrache.

Christine Pagnoulle (professeur de littérature anglaise à l'Université de Liège)

 

J'ai ouvert "Le fleuve et la barrière", ensuite le temps s'est arrêté, j'ai dévoré d'une traite les destins très attachants de Guillaume, Louise, Charlotte,  William et de notre Zazie. C'est superbe en émotion et en finesse. Nous sont épargnés les larmes de bonheur des retrouvailles et tout le bataclan.

Véronique Deprêtre (auteur de "Dérapages", éd. Onlit)

 

Trente chapitres composés d'une main de maître, très ironiques, bousculant les petites valeurs auxquelles trop de gens s'accrochent pour tenter de vivre en paix.

Michel Ducobu (écrivain)

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